par De Luminae

Nous parlons ici de quantité de lumière minimale pour effectuer une tâche visuelle comme par exemple lire, fixer une vis ou peindre, dans des conditions de performance visuelle optimale. Les seuils sont différents en fonction de l’usage du local concerné et les surfaces sur lesquelles ces niveaux sont préconisés sont aussi fonction de l’activité. On introduit ici la notion de « plan de travail » ou « plan utile ».

Par exemple, pour un travail de lecture/écriture, le plan de travail est la table ou le bureau. Mais pour les travaux mécaniques, par exemple, le plan de travail sera défini comme le plan où le travail manuel est effectué.

Classiquement la hauteur d’un plan utile horizontal est comprise entre 70 cm, hauteur d’un bureau, et 85 cm, hauteur d’un plan de travail dans un logement. Dans certains cas tels que les circulations, salles de sport ou crèches, le plan de travail utile est considéré au niveau du sol.

Par ailleurs, la quantité de lumière nécessaire pour effectuer une tache visuelle dépend également du sujet lui-même à savoir son âge, la capacité de son système visuel, ses références culturelles et sa provenance géographique.

En dépit de ces variabilités, des valeurs de niveaux d’éclairement sont définies dans les normes et recommandations internationales. La part de lumière naturelle dans ces niveaux d’éclairement n’est généralement pas précisée. Certains référentiels de certification environnementale préconisent toutefois des exigences de facteur de lumière du jour à atteindre.

Ambiances lumineuses en lumière de jour